ASSASSIN'S CREED - UNITY • Oliver Bowden

Auteur : Oliver Bowden
Titre VO : Assassin's Creed - Unity
Pages : 408
Éditions : Milady, Castelmore
❝ 1789: La révolution est aux portes de Paris. Le peuple se dresse contre l’oppression de l’aristocratie, inondant de sang les rues pavées de la capitale. Mais la justice révolutionnaire se paie au prix fort… 
Alors que les inégalités entre les riches et les pauvres sont à leur paroxysme et que la nation se déchire, un jeune homme et une jeune femme tentent de se venger de tout ce dont on les a privés. 
Arno et Élise ne tardent pas à se retrouver plongés au beau milieu du conflit qui oppose les Assassins et les Templiers depuis plusieurs siècles déjà, dans un monde où les dangers sont plus redoutables qu’ils l’auraient imaginé. 
D’après le jeu vidéo à succès d’Ubisoft. 


C'est la première fois que je lis un Assassin's Creed, et franchement, je ne suis pas déçue ! Aussi, je tiens juste à précisé que je n'ai pas mis la première phrase du résumé. Après un débat avec moi-même, j'ai trouvé que cette simple phrase spoilé un peu trop - carrément même -  un fait qui se passe vers la moitié du livre.

Contrairement au jeu 'Unity', le livre se concentre sur Élise de la Serre. J'ai beaucoup aimé la façon dont les choses sont présentées, sous forme de journal. On commence avec l'Assassin Arno Dorian qui 'nous explique' qu'il lit le journal d'Élise. On suit donc la vie de cette dernière dans les moindres détails, de son enfance à la femme qu'elle est devenue. J'ai vraiment apprécié que, pour une fois, ce soit une femme qui soit au centre de l'attention dans l'univers "Assassin's Creed".

Bon, pour ne pas changer, comme d'habitude avec les Assassin's Creed, il y a une histoire de vengeance. Bon ça, c'est le schéma normal. Mais ce qui à le plus retenu mon attention, c'est le destin d'Élise. Elle est promis à un grand avenir, mais ça l'implique aussi d'être l'ennemie d'Arno, son ami d'enfance, son amour. On assiste donc à un véritable débat intérieur pour cette jeune fille qui doit choisir entre trahir son père ou son ami. À côté de ça, il y a sa mère Julie de la Serre, une femme forte et respectée avec ses propres idées, qui encourage sa fille à elle aussi avoir du caractère et défendre ses idées. C'est grâce à elle qu'Élise a un tempérament de feu.

Au début, on a affaire à une jeune Élise, et ça se voit. Mais on peut aussi voir son évolution au fil des pages, elle grandit et s'affirme. Au delà de la vengeance, elle souhaite aussi vraiment que les assassins et les templiers arrêtent de se haïr.  Bien sur, il y a aussi des apparitions d'Arno Dorian, mais il reste vraiment un personnage secondaire, on ne sait pas énormément de chose sur son caractère, j'ai trouvé ça dommage qu'il ne soit pas plus développé. Mais il y a une vrai complicité entre Élise et Arno, même s'ils sont dans les camps opposés. On peut donc aussi voir une vrai lutte pour défendre des idéaux, le tout dans une atmosphère historique dans les rue de Paris avec des personnalités, comme Robespierre. 

En résumé, Unity est une bonne histoire à découvrir. On y retrouve des références à d'autres personnages de la saga comme Haytham, Connor ou encore Edward Kenway. Ce que je reprocherais le plus à se livre, c'est son rythme que j'ai trouvé assez lent. Mais la fin est touchante et vaut le coup de lire le livre. 

BONNE LECTURE

2 commentaires

  1. J'ai les trois premiers tome à la maison, mais je n'ai jamais osé les lire. J'adore les jeux, mais les avis sur les livres sont très souvent mitigés...

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    1. je vois ce que tu veux dire, c'est vrai que j'ai trouvé l'atmosphère du livre assez différente des jeux (mais je n'ai pas joué à Unity).
      En tout cas, tout comme toi, j'adore les jeux ! :)

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